Considerations a partir de Stéphanie Mahieu, le droit de la société de l’alimentation – vers un nouveau modèle de maîtrise des risques alimentaires et technologiques en droit communautaire et international
Debating Stephanie Mahieu, le droit de la société de l’alimentation – vers un nouveau modèle de maîtrise des risques alimentaires et technologiques en droit communautaire et international. (RI §424431)
Un debate acerca de Stephanie Mahieu, le droit de la société de l’alimentation – vers un nouveau modèle de maîtrise des risques alimentaires et technologiques en droit communautaire et international -
Benjamin Clemenceau
L’analyse originale, détaillée et pratique qu’offre l’ouvrage de Stéphanie Mahieu sur la gestion des risques alimentaires et technologiques permet de s’apercevoir qu’il existe une <> dont les acteurs et les enjeux dépassent, parfois de loin, la sphère des organismes génétiquement modifiés. Il permet, dans un autre registre, de mieux deviner les limites et les potentialités du droit à l’alimentation au plan national français, notamment.
El original, detallado y práctico análisis que ofrece el libro de Stéphanie Mahieu sobre la gestión de los riesgos alimentarios y tecnológicos permite darse cuenta de que existe una "sociedad alimentaria" cuyos actores e intereses, en ocasiones, van mucho más allá del ámbito de los organismos modificados genéticamente. Nos permite, en otro registro, adivinar mejor los límites y las potencialidades del derecho a la alimentación a nivel nacional francés, en particular.
I. INTRODUCTION. – II. LA “SOCIETE DE L’ALIMENTATION” COMME SOCIETE DU RISQUE, DE LA REGULATION ET DE LA CONSOMMATION. – III. LA SECURITE DES NOUVEAUX ALIMENTS A L’AUNE DU DROIT NATIONAL FRANÇAIS: UN EXEMPLE DE PRUDENCE A SUIVRE. – IV. VERS UNE IMPROBABLE CONSTITUTIONNALISATION DU DROIT DES NOUVEAUX ALIMENTS EN FRANCE? – V. LA FLEXIBILITE SURPRENANTE DU REGLEMENT (CE) N° 178/2002 RELATIF AUX ALIMENTS NOUVEAUX AU SEIN DE L’UNION EUROPEENNE. – VI. L’ESSOR MALGRE TOUT PERFECTIBLE DU DROIT DE LA “TECHNALIMENTATION” A TOUS LES NIVEAUX. – VII. CONCLUSION.
I. INTRODUCCION. – II. LA “SOCIEDAD ALIMENTARIA” COMO SOCIEDAD DE RIESGO, REGULACION Y CONSUMO. – III. LA SEGURIDAD DE LOS NUEVOS ALIMENTOS A LA LUZ DE LA LEGISLACION NACIONAL FRANCESA: UN EJEMPLO DE PRUDENCIA A SEGUIR. – IV. ¿HACIA UNA IMPROBABLE CONSTITUCIONALIZACION DE LA LEY DE NUEVOS ALIMENTOS EN FRANCIA? – V. LA SORPRENDENTE FLEXIBILIDAD DEL REGLAMENTO (CE) Nº 178/2002 SOBRE NUEVOS ALIMENTOS EN LA UNION EUROPEA. – VI. EL DESARROLLO, A PESAR DE TODO, DE LA LEY “TECNO-ALIMENTARIA” A TODOS LOS NIVELES. – VII. CONCLUSION.
The original, detailed and practical analysis offered by Stéphanie Mahieu’s book on the management of food and technological risks makes it possible to realize that there is a “food society” whose actors and stakes sometimes go far beyond the sphere of genetically modified organisms. It allows us, in another register, to better guess the limits and potentialities of the right to food at the French national level, in particular.
I. INTRODUCTION. – II. THE “FOOD SOCIETY” AS A SOCIETY OF RISK, REGULATION AND CONSUMPTION. – III. THE SAFETY OF NOVEL FOODS IN THE LIGHT OF FRENCH NATIONAL LAW: AN EXAMPLE OF PRUDENCE TO FOLLOW. – IV. TOWARDS AN IMPROBABLE CONSTITUTIONALIZATION OF THE LAW OF NOVEL FOODS IN FRANCE? – V. THE SURPRISING FLEXIBILITY OF REGULATION (EC) NO. 178/2002 ON NOVEL FOODS IN THE EUROPEAN UNION. – VI. THE DEVELOPMENT, DESPITE EVERYTHING, OF “TECHNO-FOOD” LAW AT ALL LEVELS. – VII. CONCLUSION.